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Tropheus duboisi au Burundi ( Muguruka à +/- 15 km au Nord de Nyanza Lac) .
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Regional center of Research in Applied Hydrobiology (CRRHA), 1996.
Rapport For the population from the northeast, which most likely comes from Muguruka (see below: note on the material examined), environmental conditions can also be! nvoked to explain the distinct body form. The analysis of Landmark data revealed that specimens from this location differed in the position of the mouth and of the pectoral fin. The rocky shore at Muguruka only extends to a depth of 3 m., and no great boulders are present (Ntakimazi,1995; CRRHA,1996). As such, the typical habitat for T. duboisi is not available at this locality and specimens might!have been forced to adapt to conditions linked to shallower water. That these specimens have a more underslung mouth is consistent with this hypothesis as Konings (2013) interpreted this characteristic as advantageous when grazing in the more turbulent, higher, parts of the rocky shore. As the position of the pectoral fin is linked to manoeuvrability and buoyancy, the higher placement of the pectorals on the body could hence also be viewed as an adaptation to the local conditions near Muguruka. Additionally, similarities in body form between the populations from Bemba and those from the central/southern groups can also be explained by convergent evolution. |
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Traduction (+/-)
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Centre Regional de Recherche en Hydrobiologie Appliquée (CRRHA), 1996.
Rapport pour la population du Nord-Est, qui très « probablement » vient de Muguruka, des conditions environnementales peuvent aussi être invoquées pour expliquer la distinctes corps forme. L’analyse que Landmark a donnée a révélé que sur ces spécimens la position de la bouche différait ainsi que leurs nageoires pectorales. L’enrochement du rivage à Muguruka seulement s’étend à une profondeur de 3 m., et pas de grands rochers sont présents (André, 1995 ; CRRHA, 1996). Comme, l’habitat typique pour T. duboisi n’est pas disponible à cette localité, les spécimens (ont dû) pourraient avoir été forcés à s’adapter aux conditions liées à moins profondeur d’eau. Que ces spécimens ont une bouche plus élingue bouche est compatible avec cette hypothèse comme le suggère Konings (2013) interprétant cela comme caractéristique avantageuse lors du broutage en eau supérieure plus turbulente sur la rive rocheuse. Comme la position de la nageoire pectorale est liée à la manœuvrabilité et flottabilité, la plus élevé placement du pectoral sur le corps pourrait donc aussi être due à une adaptation locale aux conditions près Muguruka. De plus similitudes en corps forme entre les populations de Bemba et ces de la centrale/australe groupes pouvez aussi être a expliqué par convergente évolution
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Aucune photo, aucun dessin ne vient appuyer ceci, en 2010, 2011, 2013 et 2017, je suis allé sur place pour essayer de voir si ce Tropheus existait bien, ainsi que renseignements pris auprès des pêcheurs locaux, du musée du Lac Tanganyika ( où sont répertoriés toute la faune et la flore du Lac et du Burundi), ainsi que auprès d'un ingénieur qui travaille pour le Ministère de la Pêche au Burundi et personne ne semble avoir vu ni a connaissance de cette variété de T. duboisi à cet endroit.
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Pour finir j'ai posé la question par @ à Mireille Schreyen : ex F.O.B.
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Bonjour Mireille,
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J’ai une petite question à te poser au sujet d’un Tropheus duboisi qui aurait son aire de répartition à Mukugura, perso j'y suis allé, en 2011, 2013 et 2017 sur place pour vérifier ceci, mais aucun pêcheur du coin ne connaissait ce poisson. Et pour toi qui a collecté un peu partout as-tu déjà entendu parler de ce Tropheus ? J’ai également demandé au Musée du Lac Tanganyika qui répertorie toute la faune et la flore du Lac et du pays, idem, inconnu au bataillon. Il est quand même bizarre qu’un gars parvient à pêcher huit individus et puis plus rien, aucune photo de dispo.
Je te joins le texte qui en parle.
( envoi du texte original en anglais, repris ci-dessus )
Michel
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Sa réponse : |
" Bonjour Michel,
[*********************].
Au sujet des T. duboisi, est-on certain de l'origine exacte de ces spécimens ?
Nous avons fait des dizaines de plongées à Muguruka, le seul Tropheus que nous y avons vu est le T. brichardi.
La seule possibilité de la présence d'un T. duboisi à cet endroit serait qu'il soit implanté plus au large sur un banc de roche séparé de la côte, à plus grande profondeur.
Dans ce cas, il s'agirait de celui de Tanzanie qui aurait réussi à remonter plus au nord, car près de la frontière Burundi / Tanzanie il a été repéré depuis longtemps.
Ce même phénomène existe avec l'orange de Bemba, les plus beaux spécimens se trouvent au centre de son aire de répartition, de part et d'autre, les individus sont de moins en moins colorés. "
Bien Amicalement
Mireille |
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© M.M. - 2018
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