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Au moins 51 morts dans des intempéries à Bujumbura - 10/02/2014



Au moins 51 personnes sont mortes dans la capitale burundaise Bujumbura à la suite de pluies torrentielles survenues dans la nuit de dimanche à lundi, a annoncé le ministre de la Sécurité publique.

Les autorités craignent que le bilan ne s'alourdisse encore, mais selon la police locale, il s'agit d'ores et déjà, de mémoire, du pire bilan lié à des intempéries dans la capitale. La police a aussi dénombré une centaine de blessés et des centaines de maisons effondrées.

« La pluie qui s'est abattue cette nuit sur la capitale et ses environs a causé une véritable catastrophe naturelle », a déclaré à la presse le ministre de la Sécurité publique, le général Gabriel Nizigama. « On a déjà retrouvé 51 cadavres de personnes tuées par l'effondrement de leur maison ou emportées » par des crues.

Le ministre a ajouté que les cadavres devraient commencer à être enterrés dès lundi après-midi, faute de place dans les morgues. Il s'exprimait dans un commissariat du nord de la ville, la zone la plus touchée par les intempéries, où on a pu voir 27 cadavres recouverts de draps blancs.

Les quartiers populaires de Kamenge, Kinama et Buterere, sont les plus affectés. Les maisons y sont souvent construites en fragiles briques de terre séchée, qui n'ont pas résisté aux coulées d'eau et de boue venues des collines environnantes.

Le ministre de la Sécurité publique, accompagné sur le terrain d'autres membres du Gouvernement, a promis de l'aide alimentaire aux victimes et assuré que l'Etat prendrait en charge les frais d'enterrement et de relogement.

Des pluies diluviennes sont tombées sur Bujumbura pendant une bonne dizaine d'heures dans la nuit, provoquant également des coupures d'électricité et d'eau dans une grande partie de la ville.

Deux axes majeurs reliant la capitale à la République démocratique du Congo (RDC) et au Rwanda ont par ailleurs été coupés. Le premier à la suite de l'effondrement d'un pont, le second par des éboulements.

Source : AFP

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Burundi : des intempéries font plus de 50 morts dans la capitale



Au moins 51 personnes sont mortes à la suite de pluies diluviennes dans la nuit de dimanche à lundi à Bujumbura, de mémoire le plus lourd bilan lié à des intempéries jamais enregistré dans la capitale burundaise.

« La pluie qui s'est abattue cette nuit sur la capitale et ses environs a causé une véritable catastrophe naturelle », a déclaré à la presse le ministre de la Sécurité publique, le général Gabriel Nizigama. « On a déjà retrouvé 51 cadavres de personnes tuées par l'effondrement de leur maison ou emportées » par des crues.

Les autorités craignent que le bilan ne s'alourdisse encore, notamment autour de la capitale, mais d'ores et déjà, de mémoire selon la police, jamais la capitale n'avait enregistré autant de morts dans des intempéries.

A Bujumbura seule, désormais privée de ses principaux connexions routières avec l'extérieur, la police a aussi dénombré une centaine de blessés et des centaines de maisons effondrées.

D'autres parties du pays ont été touchées par les intempéries, le Burundi étant actuellement dans sa "petite" saison des pluies. Mais, même si les informations manquaient encore sur le reste du territoire, Bujumbura et ses environs semblaient les plus affectés.

« C'est la première fois dans l'histoire que la ville de Bujumbura connaît de tels dégâts », a de son côté affirmé le maire de la ville, Saïdi Juma, appelant « à la solidarité nationale et internationale » pour faire face à la situation.

Selon le ministre de la Sécurité publique, les cadavres retrouvés à Bujumbura devaient commencer à être enterrés dès lundi après-midi, faute de place dans les morgues.

Il s'exprimait dans un commissariat du nord de la ville, la zone la plus touchée par les intempéries, où on a pu voir 27 cadavres recouverts de draps, pour beaucoup ceux d'enfants (photo ci-haut).

Les quartiers populaires de Kamenge, Kinama et Buterere sont les plus touchés. Les maisons y sont souvent construites en fragiles briques de terre séchée qui n'ont pas résisté aux inondations et autres coulées d'eau et de boue venues des collines environnantes.

Axes routiers vitaux coupés



A Kinama, un cours d'eau a notamment débordé. Au vu des marques sur les maisons, l'eau est ici montée à hauteur d'homme, jusqu'à 1m60 ou 1m70 par endroits. A la mi-journée, l'eau était largement redescendue, mais les lieux offraient un paysage de désolation, avec de nombreuses maisons rasées.

Zawadi, une mère de cinq enfants, allaitait lundi son bébé de cinq mois sur les ruines de sa maison (photo). Autour d'elle, ne restaient que des habits éparpillés et quelques bidons de plastique.

« Dans la nuit, j'ai entendu les enfants crier », raconte-t-elle. Dans leur chambre, elle les a trouvés debout sur le lit, déjà totalement recouvert d'eau.

Comme elle, son mari et ses enfants s'en sont sortis. Mais un peu plus loin, des voisins ont eu moins de chance: toute la famille, les parents et leurs trois enfants, sont morts, dit-elle.

Le ministre de la Sécurité publique, accompagné sur le terrain d'autres membres du gouvernement, a promis de l'aide alimentaire aux victimes et assuré que l'Etat prendrait en charge les frais d'enterrement et de relogement.

Des pluies diluviennes sont tombées sur Bujumbura pendant une bonne dizaine d'heures dans la nuit, provoquant également des coupures d'électricité et d'eau dans une grande partie de la ville.

Deux axes majeurs reliant la capitale à la République démocratique du Congo (RDC) et au Rwanda ont par ailleurs été coupés. Le premier juste à la sortie ouest de la ville, à la suite de l'effondrement d'un pont, le second à une dizaine de km au nord-ouest, par des éboulements.

Ces routes commerciales sont essentielles à l'économie burundaise. Tous les jours des centaines de véhicules transportent des marchandises via l'axe ouest en direction de la RDC. Egalement quotidiennement, des dizaines de camions-remorques empruntent le second, en direction du centre du pays, puis du Rwanda, du Kenya, de l'Ouganda et de la Tanzanie.

Lundi à la mi-journée, la situation était chaotique aux alentours du pont effondré: des piétons pouvaient encore traverser, mais quelque 200 véhicules étaient bloqués de part et d'autre des restes de l'édifice.

Source : Arib.info

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Des pluies torrentielles font une cinquantaine de morts au Burundi

 


Bujumbura (Burundi) - Des pluies torrentielles qui se sont abattues dans la nuit de dimanche à lundi ont fait une cinquantaine de morts et plusieurs blessés ainsi que des milliers de maisons effondrées dans les communes du Burundi de Bujumbura rural ainsi que dans les communes urbaines du Nord de Bujumbura, la capitale (Kamenge, Kinama et Buterere).

La route nationale N°1, Bujumbura -Bugarama –Rwanda, était bloquée lundi matin du fait des glissements de terrain. En commune urbaine de Kamenge, le marché de Kamenge ainsi que l'école primaire de Nyabagere n'ont pas ouvert leurs portes.

La route principale menant vers Kamenge est bloquée au niveau du pont de la rivière Nyabagere. Le cours d'eau est sorti de son lit et a envahi le marché de Kamenge emportant beaucoup de marchandises. L'école de Nyabagere située sur cette rivière a également été touchée.

En commune urbaines de Kinama, les maisons se sont effondrées surtout aux quartiers Bukirasazi et Kanga. Le quartier Carama est complètement inondé, les maisons ayant été débordées par l'eau d'une rivière et ainsi toutes les avenues restent impraticables.

La police de la protection civile était à l'œuvre pour évacuer des blessés vers l''hôpital Roi Khaled qui est débordé, selon des témoins.

En commune Buterere, c'est la désolation totale, les administratifs n'avaient pas encore fait le bilan des dégâts, même si deux quartiers totalisaient déjà 167 maisons sous les eaux.

La tristesse se lisait au visage des sinistrés qui ne savent pas où aller avec quelques uns de leurs bagages sauvés es décombres de leurs maisons. Au Sud de Buterere, la route menant vers l'aéroport internationale de Bujumbura était difficile à emprunter.

Les usines, à l'instar de celle de fabrication des médicaments SIPHAR, étaient complètement inondées de même que la station de traitement des eaux usées située non loin de là.

Source : APA

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La pluie a causé des dizaines de morts en majorité des enfants
Une pluie torrentielle qui s'est abattue sur Bujumbura, la capitale burundaise, dans la nuit de dimanche à lundi a emporté plus de 50 vies humaines dont la majorité est constituée d'enfants et plusieurs centaines de blessés, à côté des dégâts matériels, a annoncé lundi le ministère de la Sécurité publique.
Cette pluie est tombée à partir de 22H00 locales (20H00 GMT) et la plupart des dégâts ont eu lieu au Nord-Ouest de la capitale et ce sont les eaux en provenance des collines surplombant la capitale qui ont causé tous ces dégâts, parfois même emportant avec elles des cadavres à partir de ces collines.
Outre les dégâts humains, plusieurs maisons ont été détruites, des véhicules en stationnement ont été déplacés par ces eaux d'une vitesse inédite et on enregistre d'autres dégâts d'ordre sanitaire dus à la destruction des toilettes à côté des barrages d'irrigation en dehors de la capitale.
En outre, plusieurs voies de communications ont été coupées et c'est le cas de la route N°1 reliant Bujumbura la capitale burundaise aux provinces du Nord du pays et la route reliant celle-ci à l'aéroport international de Bujumbura.
Les hôpitaux de Bujumbura ont été débordés par l'afflux massif des blessés et selon les prévisions météorologiques, d'autres pluies de cette intensité sont attendues ce lundi et ce pendant au moins trois jours.
Le ministre de la Sécurité publique Gabriel Nizigama a d'ores et déjà annoncé que les funérailles et les soins administrés aux blessés seront supportés par le Gouvernement. Ces funérailles devraient se faire dans la précipitation l'après-midi de ce lundi même faute de places suffisantes dans les différentes morgues des hôpitaux de la capitale.
La Police s'employait toujours à chercher d'autres disparus dus à cette pluie torrentielle ce lundi.
Source : xinhua
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Le Pont Savonor sur la route en direction de Gatumba à la sortie de Bujumbura
Dernière news : du côté de Savonor c'est l'inondation totale, du côté de l'Old East cela l'est aussi tout comme la route de l'aéroport...
Source photo : Twiter
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Conversation, ce jour, avec une amie là-bas, sur place via FB :

- (moi) : " ça va chez toi et au boulot de *****. "

- (elle) : " chez moi le sol est saturé d'eau, à Savonor c'est l'inondation totale, galère... le monde tourne fou…"

- (moi) : " Décidément vous n'êtes pas gâté pour le moment. "

- (elle) : " non, ces pauvres gens dans les collines, mon cuisto a perdu sa maison, d'autres ont perdu leur enfants emportés par les eaux, d'autres encore ont péri sous l'éboulement de leur maison, triste vraiment... sans parler de ce bus emporté par l'éboulement d'une colline... mon cuisto qui est quand même venu au boulot (ils sont impressionnants ces gens !) M'a dit résilié : on paye pour le sang qui a coulé dans ce pays !.... "

- (moi) : " Y'a de quoi "péter" les plombs à la longue. Quel malheur pour tous ces pauvres gens. La pluie dure depuis combien de temps ? "

- (elle) : " Il n'arrête pas de pleuvoir depuis 2 mois, hier la pluie ne s'est par interrompue pendant plus de 12 h - pas si forte que ça en fait à par certain quartier peut-être mais longue et comme les sols sont détrempés car ils n'arrivent pas à sécher, et que les burundais passent leur temps à défricher...voilà... "

- (moi) : " Et dire que la femme de *****, quand nous étions chez vous, me disait qu'il ne pleuvait pas assez, comme normalement..."

- (elle) : " elle a parlé trop vite. "

- (moi) : " enfin, c'était quand même au mois de novembre... "

- (elle) : " ma mère est arrivée mi-décembre et je pense que depuis son arrivée il a plu tous les jours. "

- (moi) : " Et quand il pleut c'est pas un pipi de chat, j'essaye de m'imaginer ..."

- (elle) : " oui, tu vois bien mais il y a eu aussi des pluies moins fortes mais tu sais comment c'est, aucun caniveau nettoyé, aucun mur de soutènement pour pallier aux éboulements, défrichages massifs des arbres, etc... "

- (moi) : " Tant que cela va, les autorités ne bougeront pas le petit doigt, sauf en parole comme d'habitude... Malheureusement, ils n'en tireront aucune leçon de cette catastrophe... "

- (elle) : " ... voilà il ne faut pas te faire de dessin... la communauté internationale a présenté ses condoléances aux autorités. "

- (moi) : " Oui et verseront des subsides comme d'habitude... "

- (elle) : " triste car comme toujours et comme partout ce sont les petites gens qui souffrent le plus - en France c'est catastrophique aussi. "

- (moi) : " oui, à un autre niveau mais catastrophique quand même, car les gens sont souvent touché à plusieurs reprises par ces inondations à répétitions. "

- (elle) : " et il ne faut pas croire la misère est aussi à nos portes et pour certaines personnes qui perdent tout et qui sont endettées jusqu'au cou c'est catastrophique. sans compter ceux qui ont péri également dans les eaux. "

- (moi) : " on est bien peu de chose sur terre quand même ... "

- (elle) : " c'est sûr. Aller j'y vais. ***** vient de me dire qu'il n'a pas pu rentrer chez Savonor aujourd'hui en raison des inondations. Bisous à vous. "

- (moi) : " Bisous chez toi et surtout courage. "


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