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A propos de
pépites suivantes de l’auteur… Observations & corrections à propos du
livre
“ Les Trophéines - Tropheus, Petrochromis et apparentés ” - par Patrick
TAWIL
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En sus des territoires de
reproductions, communs à tous au moins lors de la ponte, les trophéines
les plus spécialisés défendent des territoires alimentaires durables,
qui leur permettent de réduire la concurrence trophique de leurs
congénères. Pour défendre ces territoires parfois immenses, les Tropheus
et plus encore les Petrochromis font preuve d’une intolérance
intraspécifique excessive, ce qui, en combinaison avec leurs dents
fortement abrasives, explique la difficulté de leur maintenance en
aquarium trop petit.” |
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On constatera, du moins pour
ceux qui maintiennent correctement et depuis quelques années des "trophéines",
que les observations de P. Tawil ne sont basées que sur, soit un temps
très court ou soit sur des “ on dit que ” de certains détenteurs
occasionnels de ces espèces des deux Genres.
Il n’a pas non plus pu constater ses comportements In Situ, mais j’en
reviendrai un peu plus loin.
In Situ, on peut constater que le territoire de nourrissage est très
souvent partagé par Petrochromis et Tropheus, ceci aussi
bien dans le Sud qu’au Nord du Lac. Le comportement d’intolérance
intraspécifique se produit surtout en aquariums.
In Situ, on remarquera que les pourchasses ne vont pas bien loin,
généralement pas plus d’un mètre du promontoire ou rocher qui sert de
territoire au mâle dominant. Il y a très peu d’intolérance
interspécifique, si ce ne sont quelques poursuites sans attaques
réelles, du moins en aquarium de taille correcte et adapté pour la
maintenance de Petrochromis et Tropheus.
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Une autre particularité des
haplochromines en général et des trophéines en particulier par rapport à
ces autres lignées d’incubateurs buccaux maternels est constituée par la
position " en T " lors de la ponte. Les deux sexes déposent
alternativement leurs gamètes sur le substrat tandis que leur partenaire
leur tamponne la région anale pour les stimuler. Cette alternance se
retrouve avec des variantes chez les autres lignées, mais les mouvements
et la position des haplochromines sont reconnaissables pour un œil
exercé. Seule particularité des trophéines : le partenaire qui applique
sa région anale sur le substrat le fait souvent, mais pas toujours, en
se couchant sur le flanc. Parmi les espèces qui s’adonnent à ce qui peut
ressembler à une sorte de transe sexuelle de la part de l’individu
couché, on trouve les Tropheus (sauf T. duboisi) ainsi que Petrochromis
famula et Petrochrmis fasciolatus, mais non les “vrais” Petrochromis.
Autre particularité de certains trophéines / les ocelles sont parfois
absents, comme chez Tropheus duboisi, tandis qu’ils peuvent être
diversement occultés chez d’autres Tropheus à robe noire, mais il ne
s’agit que de régression et non d’un caractère primitif. On trouve des
configurations équivalentes chez nombre de cyrtocarines du Malawi, avec
notamment les Cyrtocara totalement dépourvus de taches ovoïdes ou les
Aulononcara, qui peuvent en être abondamment pourvus mais chez lesquels
ces taches sont parfois en grande partie voire en totalité occultées
lorsque la coloration nuptiale se développe.” |
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Soit il répète ce qu’il a lu ou
entendu, mais diversement écrit pour éviter le “plagia”, soit il ne sait
pas, car celui qui a maintenu diverses espèces de Tropheus, ne
sera pas en accord avec ses “allégories sorties d’on ne sait où”.
Lors d’une reproduction de Tropheus ou de Petrochromis, la
nageoire anale est présentée, avec ou sans tache ovoïde, et non toute la
région anale.
Jusqu’à présent et cela depuis 1972, date à laquelle j’ai débuté avec le
Genre Tropheus, mis à part les Tropheus duboisi
et Tropheus annectens, tous mes Tropheus mâles de
l’espèce T. sp.black avaient des ocelles.
La position “en T” est typique des Tropheus et Petrochromis. |
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“Enfin, toujours dans
l’optique du modèle « K », les trophéines se singularisent par la durée
de leur incubation buccale, laquelle est plus longue, voire la plus
longue de la famille. J’ai souvent observé qu’en aquarium d’ensemble, où
de densité de population constitue une menace constance pour les petits,
les femelles de Tropheus et Petrochromis gardent leurs petits en bouche
trois semaines, voire plus, après l’éclosion, laquelle prend déjà trois
semaines à 24° C, comme chez une majorité de l’incubateurs. La totalité
de l’incubation peut alors durer d’un mois et demi à deux mois, durant
lesquels la femelle réussit tout de même à s’alimenter. Les petits,
quant à eux, s’alimentent également, soit dans la bouche maternelle,
soit lors de courtes excursions extra-buccales à l’abri d’une roche.” |
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Preuve, s’il en fallait encore,
que cet auteur, n’a pas maintenu assez longtemps des Tropheus et
ou Petrochromis et encore moins observé assez longtemps pour
savoir la réalité que ce soit en aquarium ou In Situ.
En effet, l’œuf de Tropheus se transforme en larve avec sac
vitellin au bout de quelques jours (entre 8 à 10 jours) à une
température de 26 ° C. , température “recommandée” pour ne pas avoir des
Tropheus et ou Petrochromis amorphes ainsi que pour une
maintenance correcte des trophéines ainsi que toutes autres espèces des
lacs Tanganyika et Malawi.
Il y a assez de photos, vidéos sur le WEB de “possesseurs” de brouteurs
qui démontrent au jour le jour l’évolution de l’embryon qui se
transforme en larve avec sac vitellin au bout de quelques jours dans une
eau oxygénée à 26 - 27 ° C.
Au bout de trois semaines à cette température, les alevins commencent à
se nourrir, soit dans la cavité buccale maternelle, soit lors des
premières nages libres.
Il arrive qu’une femelle ne se sentant pas en sécurité, décor non
adapté sans cache possible pour sa progéniture, s’occupe des alevins
pendant encore une à deux semaines, on constate principalement cela chez
l’espèce de Tropheus duboisi, ainsi qu’un nombre très restreint
d’alevins lors de ces “longues incubations”, beaucoup moins chez les
autres trophéines.
In Situ, les femelles lâchent les alevins au bout de trois semaines
d’incubation dans des endroits peu profond, à l’abri de certaines
catégories de prédateurs aquatiques. |
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“
Entre parenthèses, il
serait intéressant de mener les prochaines expériences de choix sexuel
en tenant compte de l’acquis « culturel » des individus : de la même
manière qu’un oiseau chanteur qui grandit au milieu d’individus d’une
autre espèce acquiert souvent leur chant, s’il a grandi au milieu de
congénères d’une variété différente, un Tropheus montrera peut-être une
attraction pour la couleur de ceux-ci plutôt que celle de ses propres
congénères. La mémoire des poissons est en principe relativement limitée
dans le temps, mais l’expérience vaut d’être tentée. Par ailleurs, il
faut noter que la préférence sexuelle est souvent asymétrique, notamment
du fait que chez les espèces fortement dichromatiques, ce sont les
femelles qui choisissent leur partenaire par la coloration et non
l’inverse. Or, il se trouve que cette préférence asymétrique à également
été constatée chez les Tropheus, chez lesquels le dichromatisme sexuel
est pourtant pratiquement absent.” |
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Encore une fois, force est de
constater, que l’auteur n’a fait que lire quelques bouquins qui
reprennent tous des conditions de maintenances et des attitudes
observées on ne sait ou et par qui…et je ne parle ici que du Genre
Tropheus, car sur le Genre Petrochromis, je n’ai et ne
maintiens que des Petrochromis trewavasae Moliro, donc je
passerai sur ce chapitre, mais pour les Tropheus, ayant maintenu
toutes les espèces en aquarium et cela depuis 1972, je m’autorise à
rectifier les mêmes textes depuis le siècle passé…Que ce soit Ad Konings,
Patrick Tawil ou autres, ils ne font que répéter les multiples erreurs
lues le siècle passé, sans réellement avoir maintenu assez longtemps le
Genre Tropheus. Mis à part que le premier, "A. Konings", fait des
plus belles photos In Situ et quelques autres en aquariums, tandis que
le second "P. Tawil", n’a fait que des prises de vues en aquariums qui
ne lui sont pas personnel. Ce dernier n’a fait que des synthèses à sa
sauce perso. Faut-il rappeler que cet auteur n’a pas la possibilité
d’avoir maintenu assez longtemps les espèces qu’il commente et cela
depuis des lustres. Et ce n’est pas parce que l’on fait partie d’une
association d’aquariophilie et que celle-ci publie ses textes, que pour
cela, ses textes font office de « bible aquariophile », surtout que
cette personne n’a jamais mis les pieds sur les territoires limitrophes
du Lac Tanganyika, ni Malawi.
Il n’a pas pu observer sur une période assez longue et n’a pas pu
observer et déchiffrer correctement les attitudes et agissements des
Genres Tropheus et Petrochromis.
En aquarium, il y a plusieurs territoires séparés par une ligne
“imaginaire” ou l’une ou autre roche. Le Tropheus mâle dominant
essaye d’attirer l’une ou l’autre femelle gravide, alors qu’un jeune
mâle, pendant ce temps, attirera et fécondera une autre femelle à
l’opposé du bac. Ce dernier n’a bien souvent pas les couleurs
d’excitation du dominant, et pourtant certaines femelles y vont.
In Situ, là où vivent en sympatrie des Tropheus brichardi et
Tropheus moorii, mais pas à la même profondeur, on n’observe pas
d’hybridation entre espèces, y compris en aquarium.
Par contre, certains s’amusent à maintenir deux variétés géographiques
d’une même espèce et là, il y a risque d’hybridation parce qu'il y aura
toujours l’une des deux espèces qui dominera l’autre.
Dire qu’il faudrait “tenter” des expériences est d’une nullité absolue,
du moins pour nous qui tentons de maintenir correctement nos hôtes
aquatiques.
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“Abréviations : sp. =
species (espèce, s’emploie pour désigner une espèce indéterminée non
décrite) ;
ssp. = subspecies (sous-espèce, idem) ;
spp. = espèces au pluriel ;
aff. = affinis (apparentée, s’emploie pour une forme apparentée à une
espèce connue) ;
cf. = confer (s’emploie pour une forme qui pourrait correspondre à un
taxon décrit) ;
mot ou groupe de mots entre guillemets : derrière l’abréviation « sp. »,
désigne une espèce (ou une sous-espèce derrière « ssp ») n’ayant pas
encore de nom scientifique latin ; à ne pas confondre avec la simple
indication de localité, qui s’emploie sans guillemets.” |
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Pourquoi vouloir rajouter des
taxons aux espèces non décrites ? C'est un non sens puisque non
décrites.
De plus l’auteur se permet d’essayer de rajouter sa petite touche
personnelle, aux Espèces du Genre Tropheus
comme :
“- Tropheus sp. " lunatus ".
- Tropheus sp. " maculatus ".
- Tropheus sp. " ruber " qui reprend certains Tropheus
brichardi.
- Tropheus. sp. " Ikola " est inclus dans Tropheus sp.
black. Ce dernier avait été nommément baptisé par P. Tawil en 2012, Tropheus sp.
" ater " ssp " caesar " Ikola...
- Tropheus sp. Mpimbwe avait été nommément baptisé par P. Tawil
en 2012, Tropheus sp. " fuscus ".
- Tropheus moorii Kasakalawe ( Mpulungu ) avait été nommément
baptisé par P. Tawil en 2012, Tropheus moorii ssp. " soloccidens
".
- Tropheus duboisi Halembe ( Maswa ) avait été nommément baptisé
par P. Tawil en 2012, Tropheus duboisi " latitaeniatus " Halembe.
- Tropheus duboisi Bemba, Kigoma et ou Karilani avaient été
nommément baptisés par P. Tawil en 2012, Tropheus duboisi duboisi
Bemba, Kigoma et ou Karilani.
- Tropheus sp. black Kiriza, et Bemba avait été nommément baptisé
par P. Tawil en 2012, Tropheus sp. " ater " ssp. " aurantiacus ".
- Tropheus sp. black Rutunga avait été nommément baptisé par P.
Tawil en 2012, Tropheus sp. " ater " ssp. " ater " Rutunga.
- Tropheus sp. black Bulu point avait été nommément baptisé par
P. Tawil en 2012, Tropheus sp. " ater " ssp. " bimaculatus " Bulu
Point.
- Tropheus sp. black Carmaba avait été nommément baptisé par P.
Tawil en 2012, Tropheus sp. " ater " ssp. " rufescens " Caramba.
- Tropheus brichardi Malagarassi avait été nommément baptisé par
P. Tawil en 2012, Tropheus sp. " viridescens " Malagarassi.
Mais encore :
- Tropheus sp. " vespaoides ",
- Tropheus sp. " fuscus " ssp. " brunneus ",
- Tropheus sp. " fuscus " ssp. " fuscus ",
- Tropheus sp. " brunneiflavus " ssp. brunneiflavus Ujiji,
- Tropheus sp. " murago " ssp. " murago " Moba,
- Tropheus sp. " murago " ssp. " microstigma " Mwerazi,
- Tropheus sp. " moorii ssp. " soloccidens " Lufubu,
- Tropheus moorii ssp " citrinus " Linangu,
- Tropheus ssp. " omnicolor " Kasanga,
- Tropheus ssp. " canescens " Zongwe,
- Tropheus ssp. " caesius " Sibwesa,” |
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Etc., etc., etc... Bref,
un chat aurait du mal à retrouver ses jeunes...
En définitif, rien de bien neuf, si ce n'est une énième tentative de
faire basculer une espèce de " species " ( sp. ) dans une autre, faut-il
encore une fois se conformer aux désidératas de personnes qui ne sont
pas des scientifiques, alors qu’aucune nouvelle description
scientifique, qui certifierait ces prétendues nouvelles espèces, n’est
prévue dans un futur, manques de fonds financiers et scientifiques
obligent ...
Même entre eux, les " auteurs " (A. Konings, P. Tawil) ne sont pas
d'accords sur les nouvelles dénominations des " species " puisque pour
A. Konings ce serait T. sp. " lunatus " pour le sp. black et pour
P. Tawil cela serait T. sp. " viridescens " pour les mêmes
individus ...
Qui a raison et qui va être pris en compte, si pris en compte et par qui
?
Personnellement, j’en reste aux “sp.” sans autre ajout personnel puisque
ces espèces sont à décrire scientifiquement, il est inutile de rajouter
quoi que ce soit. Le "sp" black, le "sp" red et le "sp" Mpimbwe sont
usités régulièrement. |
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Page 36 : |
“Cas pratiques : Tropheus
moorii comporte deux sous-espèces décrites et quelques autres non
décrites.
La sous-espèce nominative T. m. moorii correspond à la population
originaire de Mpulungu.
L’autre sous-espèce décrite est T. m. kasabae, qui correspond à la
population de Chaïtika. ” |
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Aucun Tropheus n’est
présent à cet endroit précis, Mpulungu étant une aire sablonneuse..
- En 1898 le genre et l’espèce type ont été décrits par Boulenger
d’après cinq ( 5 ) spécimens, collectés soi-disant à Kinyamkolo (
actuellement Mpulungu ) par John Moore en 1895-96.
On suppose actuellement que l’espèce type décrite n’est pas originaire
de Mpulungu [ex Kynyiamkolo], mais probablement de spécimens provenant
de Mbita Island à quelques encablures en face de Mpulungu.
(Syntypes BMNH n°1898.9.9:53-55, MNHN n° 1898.700 and one skeleton in
BMNH)
- La description originale du Tropheus moorii Kasabae date de
1977 par Nelissen, selon des spécimens pêchés à Kasaba Bay et non
Chaïtika comme l’écrit l’auteur et cette espèce aurait, depuis quelques
années déjà, été remise en synonymie avec Tropheus moorii.
(Holotype MRAC n° 75-63-P-16 ; paratype (8) MRAC n° 75-63-P-5-15, n°
75-63-P-17-23)
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Page 38 : |
" La rubrique Reproduction détaille les
particularités de la reproduction de l'une ou l'autre espèce, qui sont
en général homogènes dans l'ensemble de la tribu, avec quelques
variations qui se remarquent plutôt au niveau générique, ou au plus à
celui d'un groupe d'espèces. Le dimorphisme sexuel n'est détaillé que
dans les cas où il s'affiche même chez des individus non excités. Si
l'on excepte la différence de taille entre mâles et femelles
(pratiquement toujours à l'avantage des premiers), beaucoup de
trophéines présentent la particularité d'avoir des sexes identiques, au
contraire de la majorité des autres haplochromines, qui sont
sexuellement dimorphes. En général, outre la taille, les mâles
présentent des nageoires un peu plus longues, mais même ce critère n'est
pas toujours facile à évaluer, en particulier chez les Tropheus. Si l'on
excepte les plus gros spécimens, approchant la taille maximale de
l'espèce, et en l'absence d'information sur l'âge des individus, pour la
plupart des espèces , l'identification des sexes de visu nécessite un
oeil exercé et doit, de préférence, être complétée par un examen
comparatif des papilles génitales, plus larges chez les femelles" |
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Encore une preuve que l'auteur n'a
pas l'œil ou ne fait que répéter à sa façon, les "on dit que". En ce qui
concerne le "sexage" de Tropheus adultes, quand on en a maintenu
assez longtemps et que l'on observe longuement ses pensionnaires et très
souvent, on a pas besoin de pêcher les poissons pour les sexer à la "retournette",
il suffit d'observer leurs bouches et attitudes. Généralement, les mâles
ont le bord de lèvre supérieure qui est redressée vers le haut, à force
de se mesurer aux autres mâles, ce que les femelles n'ont pas, même les
dominantes.
A l'observation également, les mâles chercheront toujours un territoire
et chasseront les intrus sauf le dominant. Les femelles sont
généralement acceptées sur le territoire aussi petit, ou grand, qu'il
soit. Pour cela, il faut que le "cheptel" soit habitué à l'aquarium et
décor. En magasin, les Tropheus n'ont pas ces comportements et la
seule façon de les sexer sera la "retournette". |
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